ASPASIE est un fonds documentaire sur l’histoire des femmes et du genre
Netvibes de la BU Education ESPE Lyon sur les questions d’égalité et de genre (Fonds Aspasie)
Women in science, 2009 : Cette publication est disponible en ligne sous forme de livre audio et présente les histoires extraordinaires et les exploits de femmes scientifiques hors du commun telles que Marie Curie-Sklodowska et Hildegard Von Bingen.
Le site de l’INRP consacre désormais une page aux travaux sur le genre
Revues
N° coordonnée par Jacqueline Heinen, Héléna Hirata, Roland Pfefferkorn
Ed. L’Harmattan, juin 2009.Le Temps des Médias
N° 12 : « La cause des femmes »
Anne-Claude Ambroise-Rendu
Editeur : Nouveau Monde Editions, juin 2009.
N°2, 2009 : « Genre et éducation : institutions, pratiques, représentations »
Genre & histoire Revue électronique de l’association Mnemosyne. n°4, printemps 2009 :
Françoise Thébaud, « Entre parcours intellectuel et essai d’ego-histoire. Le poids du genre »
Genre, sexualité et société – n°1, Printemps 2009 : Lesbiennes
Stéphane Héas, Sylvain Ferez, Ronan Kergoat, Dominique Bodin et Luc Robène, « Violences sexistes et sexuelles dans les sports : exemples de l’humour et de l’insulte » Les violences sportives sont pléthores. Elles s’échelonnent des propos et des actes en cours de jeu à ceux qui se perpétuent en dehors des enceintes sportives. Les institutions sportives, lorsqu’elles le décident, peinent à limiter racisme, sexisme ou homophobie. Dans de nombreux pays, malgré les mesures incitatives en faveur de la parité homme/femme, les lois contre le sexisme, le racisme, la xénophobie, etc., les situations sont toujours délicates pour l’ensemble des minorités : sexuée, sexuelles, mélaniques, etc. Au-delà des violences sportives les plus manifestes, nous démontrons l’importance des insultes et les blagues chez les jeunes. Ces propos injurieux constituent des préjudices indéniables et des entames discriminatoires non négligeables. Elles sont précisées ici à partir d’une recension de la littérature internationale et d’une enquête récente en France auprès de collégien-ne-s et de lycéen-ne-s bretons (N=1 321).