La Charte pour l’Egalité entre les Femmes et les Hommes de l’Université Lyon1, comme celle adoptée conjointement le 28 janvier 2013 par la Conférence des Présidents d’Université (CPU), la Conférence des Directeurs des Ecoles Françaises d’Ingénieur (CDEFI) et la Conférence des Grandes Ecoles (CGE) invitent à ce qu’un travail de sensibilisation soit fait en matière de sensibilisation, de prévention et d’accompagnement en matière de harcèlement sexuel, tant pour les étudiantes que pour les membres du personnel des universités, des grandes écoles et des écoles d’ingénieur.

L’Université de Lille possède depuis 2006 une cellule de veille et d’information sur le harcèlement sexuel. Les Universités et grandes écoles de Bretagne (Bretagne Occidentale, Bretagne Sud, Rennes 2, Rennes 1, Télécom Bretagne, Ecole Normale Supérieure de Rennes) mettent place une expérimentation contre les violences faites aux femmes et contre le harcèlement sexuel sur les campus bretons.

Un numéros d’appel existe pour toutes les victimes de violences, quel que soit le préjudice subi, le 08VICTIMES

  Un numéro dédié aux femmes victimes de violences, gratuit depuis un poste fixe, le 3919

Un site gouvernementale existe également qui permet de fournir des informations sur le harcèlement, des moyens d’action, des outils de prévention:
Stop-Harcèlement-Sexuel.gouv.fr

Il est également possible de consulter le site du Collectif de Lutte Anti-Sexiste Contre les Harcèlement Sexuel dans l’Enseignement Supérieur (CLASCHES)

Le livre blanc de l’Association Nationale des Etudes Féministes (ANEF), Le genre dans l’enseignement supérieur et la recherche, y consacre son chapitre 5 (« Harcèlement sexuel et violences sexistes à l’Université et dans l’Enseignement supérieur »)